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Convention entre la Côte d’Ivoire et l’Etat des Emirats Arabes Unis
Convention entre le gouvernement de la République de Côte d’Ivoire et le gouvernement de l’Etat des Emirats Arabes Unis visant à éviter la double imposition et prévenir l’évasion fiscale en matière d’impôts sur le revenu
Note de service DGI sur la convention CEDEAO
Comment continuer à faire fonctionner les organes collegiaux d’une entreprise en periode de crise?
La pandémie constituée par le COVID 19 impacte de façon significative les économies nationales en raison de la baisse drastique d’activité qu’elle occasionne chez la quasi-totalité des acteurs économiques, personnes physiques ou morales. Cette baisse d’activité est liée soit, au COVID 19 pris en tant que maladie empêchant l’exécution de la prestation de travail par le personnel malade soit, aux mesures barrières à respecter pour empêcher la propagation de la maladie, notamment la distanciation sociale.
Cybersécurité & télétravail
La pandémie du COVID 19 est une opportunité en or pour les cybercriminels !
En effet, avec le télétravail qui s’impose, les modes d’accès à distance aux infrastructures informatiques sensibles des sociétés et de toute organisation, se démultiplient via le réseau internet domestique. Les contrôles physiques mitigeant un bon nombre de risques de cyberattaques , ne sont plus applicables.
Conscients du contexte, les cybercriminels sont à l’affût des faiblesses du système de contrôle.
En effet, un certain nombre de prédispositions ont été mises en place par les Directions des Services d'Information (DSI) afin d'assurer la sécurité de l'infrastructure. Si tout le dispositif technique a bien été pensé et mis en place, la fragilité des employés représente aujourd'hui le risque d'attaque le plus important.
En effet, avec le télétravail qui s’impose, les modes d’accès à distance aux infrastructures informatiques sensibles des sociétés et de toute organisation, se démultiplient via le réseau internet domestique. Les contrôles physiques mitigeant un bon nombre de risques de cyberattaques , ne sont plus applicables.
Conscients du contexte, les cybercriminels sont à l’affût des faiblesses du système de contrôle.
En effet, un certain nombre de prédispositions ont été mises en place par les Directions des Services d'Information (DSI) afin d'assurer la sécurité de l'infrastructure. Si tout le dispositif technique a bien été pensé et mis en place, la fragilité des employés représente aujourd'hui le risque d'attaque le plus important.